vendredi 30 décembre 2011

Le Bilan

Voici ce que j'ai dans la tête, tous les ans, à la même époque. Maintenant, vous savez.

mercredi 28 décembre 2011

ouille ouille

Oui, oui, y'en a des qui diraient que je me fais rare (mais non...). D'autres qui m'auront virée de leur flux RSS (me demandez pas, je ne sais pas trop ce que c'est). Mais tant pis. Je me lance.

J'ai un nouveau poste. Enfin, j'ai. Non, je vais avoir. Enfin, j'ai quand même un peu, déjà.
Super bien, direz-vous, félicitations, serpentins et paillettes. Oui, oui, c'est vrai. Je suis contente. Si, j'vous jure. Déjà parce qu'au bout de 6 années de lutte acharnée contre ma nature, j'ai enfin compris que si on me proposait des postes en communication c'est parce que je devais y avoir ma place. Ensuite parce que, comme tout est à faire, c'est excitant, je peux inventer plein de choses débiles et drôles et sympas pour que les gens se sentent choyés, écoutés et entendus, pris en charge et qu'en plus, de temps en temps, ça les fasse marrer d'être au boulot. Enfin, parce que je vais recevoir plein d'invitations à pleins de trucs genre chui une cliente HYYYPER importante.

Mais, ne nous leurrons pas, ce nouveau poste, c'est aussi un grand trou noir pour moi. Parce qu'autant être la rigolotte de service et la maman de substitution comme ça au déboté, c'est bien, mais quand ça devient un travail, c'est beaucoup plus chaud. Ensuite parce que, soyons honnêtes, je n'y connais pas grand chose en communication interne, marque employeur, processus d'intégration.... J'ai l'instinct, j'ai l'envie, j'ai la créativité, certes mais si je dois faire un plan en 3 parties sur le pourquoi, comment, qui (et aussi le QQCOQP que ma cheffe m'a appris l'autre jour), j'ai peur de perdre ces deux choses là, qui me sauvent dans 99% des situations (et me foutent dedans sévère dans les 1% qui restent).

Et puis il parait qu'il faut que j'apprenne à faire faire. Et là mes amis, ça va être intéressant, moi qui me considère comme celle à qui on fait faire et qui adore aider en plus.

Alors, ouille ouille. J'ai peur de me prendre une tôle. Mais j'y vais, hein, je ne recule pas devant l'adversité.

Il parait que ça s'appelle grandir. Mon dieu.